Trues en concert au Café Terra Natura à Seynod :

L’ organiste David Bonnin, le guitariste Julien Ravier et le batteur Yann Pajean s’appuient sur le rythme de leurs compositions (Soul, Funk, Boogaloo…) et construisent des climax dynamiques parsemés de solos et de samples… Des lignes de basse branchées, du groove, la guitare funky, la puissance sonore de l’orgue et un message rempli d’âme, sont une combinaison puissante pour atteindre le public.

TRUES – Hammond Organ Soul Jazz trio – Live For Civil Rights Movement

À l’écoute

L’EP « Divine » de TRUES est disponible à la vente :
Au format CD, ici et sur les plateformes de téléchargement (AmazonApple MusicQobuz7digital…)
Vous pouvez aussi écouter et liker les titres sur SpotifyDeezerYouTube Music …

TRUES en concert au Café Terra Natura à Seynod


TRUES en concert au Café Terra Natura à Seynod

C’est L’histoire des Afro-américains qui défile, depuis l’abolition de l’esclavage, le maintien de la ségrégation dans le Sud, la lutte pour les droits civiques, les grandes émeutes urbaines, la guerre du Vietnam… tout en évoquant Rosa Parks, Martin Luther King, Malcom X, les Blacks Panthers….

La Soul music combine des éléments de la musique gospel Afro-Américaine, du rhythm and blues et du jazz. Elle est devenue populaire pour la danse et l’écoute aux États-Unis, où les labels tels que Motown, Atlantic et Stax ont eu une influence sur le mouvement des droits civiques américains.

La « musique noire » a conquis la jeunesse américaine et motivé sa volonté d’émancipation au cœur de l’Amérique puritaine des années 50 et 60.

En 1965, enlisés au Vietnam, les États-Unis traversent une crise sans précédent : manifestations, émeutes, explosion des violences policières…

20 millions d’Afro-Américains sont chaque jour livrés à eux-mêmes, discriminés, harcelés.

Après l’assassinat de Malcolm X, la communauté noire se déchire entre la haine et la non-violence prônée par Martin Luther King, quand surgit le Black Panther Party (BPP) : l’organisation défie l’Amérique raciste, armant ses milliers de militants et subvenant aux besoins des ghettos.

Une véritable révolution se profile. Le gouvernement déclare alors une guerre impitoyable aux Black Panthers. Personne ne sera épargné, à l’image du pays, happé par le chaos des sixties.